jeudi 22 mai 2014

Bonjour!

Cadeau pour réviser le II) du chapitre sur la régulation en plus du jeu... Et oui je suis dans ma période ludique ;)
Cliquez ici

lundi 12 mai 2014

Re!

Voilà la correction de la dissertation toute en couleurs! En espérant qu'elle vous sera utile pour bien assimiler la méthode. Encrez vous les tournures des "chapeaux" de parties et des transitions/CCL partielles... Vous devez trouver vos automatismes.
Cliquez ici.
Une dissertation bien rédigée selon les codes + de bonnes connaissances = une excellente note au bac.

Bon travail!

dimanche 4 mai 2014

Bonjour,
Je pensais avoir trouvé la vidéo c'est pas sorcier sur YouTube et pouvoir vous donner le lien mais  c'est une collègue qui me l'a donnée. 
J'essaye donc de vous fournir ici un lien Dropbox de la vidéo elle même: 

Par contre, vous ne pourrez y accéder que d'ici une heure, le temps que le transfert se fasse sur le net. 

Bon travail et bon dimanche.

mardi 29 avril 2014

Re bonjour!
Alors, je vous dois pas mal de choses, s'il en manque une, n'hésitez pas à me le dire!

Tout d'abord, la vidéo que nous avions visionnée en cours:



Ensuite, l'article très complet de l'Expansion sur la déflation, je vous conseille de le lire (pour les plus courageux), de le feuilleter (pour ceux qui veulent se donner bonne conscience) et au moins de regarder les images (graphiques etc...) pour les plus flemmards! Cliquez ici 

Si vous souhaitez revoir les vidéos de ce matin et en voir d'autres sur d'autres thèmes, vous allez sur le site la financepourtous, dans l'espace enseignant, vous choisissez SES et vous fouillez!

Enfin, je n'ai pas réussi à mettre sur le blog la vidéo c'est pas sorcier sur la monnaie et les banques... Cependant, on la trouve très facilement sur Youtube en tapant "c'est pas sorcier les banques, les sorciers demandent des comptes".

Bon travail, ce chapitre c'est mon préféré, un des plus passionnants, j'espère qu'il vous a plu...

vendredi 25 avril 2014

Bonjour à toutes et à tous!

Les vacances se terminent, pour se remettre en douceur dans une ambiance économique et sociale, je vous propose un article du figaro portant sur l'ouverture à la concurrence de certaines professions réglementées... Cela devrait vous faire penser à quelque chose que l'on a étudié... Non? Alors allez réviser votre cours sur le marché! Sans négliger pour autant le chapitre sur la monnaie, attention, une interrogation arrive bientôt, nous la programmerons lundi... Oui oui je vous vois déjà râler :


Cliquez ici pour lire l'article: http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2014/04/25/20002-20140425ARTFIG00006-la-france-veut-convaincre-bruxelles-qu-elle-s-attaque-aux-professions-reglementees.php

Je vous signale aussi un numéro très intéressant de l'Expansion (celui du mois d'Avril, il ne sera bientôt plus en kiosque) il y a un grand dossier sur la déflation (nous allons en parler mardi en TD), il y a aussi un article sur les investisseurs et les business angels...

Je vous dis à Lundi, j'ai hâte ;)



Bonne fin de vacances!

jeudi 6 mars 2014

Voilà nos photos de groupe de mardi! Nous sommes beaux n'est-ce pas? :)







Tiens, Kenny a du dire quelque chose de très drôle! Même la fée Léa en meurt de rire!

lundi 3 mars 2014

Comme promis voilà les corrections dues... Bon travail et si vous voyez ce message ce soir: ramenez votre manuel demain et faites passer l'info au max!

A demain!



Doc 2 p 122
1. La prise en charge de la sécurité extérieure d’un pays est coûteuse. Si la demande existe bel et bien, l’offre connaît une réelle carence due au fait qu’aucune entreprise privée ne prendra en charge une activité qui ne rapporte rien, puisque la divisibilité et l’exclusion sont impossibles à mettre en oeuvre.
Il revient donc aux pouvoirs publics le soin de fournir à la population ce bien (service) collectif.
2. En revanche, les pouvoirs publics peuvent se poser la question de l’exécution de cette mission : est-ce à l’État de « produire » lui-même ce service, ou bien peut-il en confier la mission au privé ?
L’État peut ici choisir la première solution et faire exécuter cette mission par des militaires relevant de l’administration publique ; il peut aussi choisir de faire (partiellement) exécuter cette mission par des sociétés privées qui travailleront sous contrat avec l’État (cf. encadré « Le saviez-vous ? »).
Bien que l’étude de la notion de service public ait disparu des programmes, on pourra faire une brève allusion à la manière dont a été pensée la gestion des services publics au niveau européen.
En conclusion, on pourra souligner que la défaillance initiale du marché dans un domaine particulier n’est pas un obstacle totalement rédhibitoire au choix de sa réintégration partielle.


Doc 4 p123

1. L’expression « droits à polluer » est ambiguë car elle ne signifie aucunement que les entreprises ont le droit de polluer autant qu’elles veulent, mais plutôt l’inverse. Les termes « permis d’émission », « crédits carbone » ou « permis négociables » sont plus proches du mécanisme mis en jeu.
2. Mécanisme du marché des permis à polluer : l’État, après avoir fixé un seuil global maximal de pollution, répartit des droits entre les entreprises ; une entreprise peut utiliser elle-même ce droit ou le revendre au plus offrant (marché) ; l’entreprise dont le coût de réduction de la pollution est supérieur au prix de marché de ces droits cherchera à acheter la quantité de droits nécessaires, tandis que l’entreprise qui a un coût de réduction de la pollution inférieur au prix du droit revendra son droit et fera la dépense nécessaire à la réduction de sa pollution. Grâce à l’introduction de ce mécanisme de marché, le coût de la dépollution sera moindre pour l’une comme pour l’autre, alors que la dépollution globale sera identique. Ce mécanisme sera d’autant plus incitatif en termes de dépollution que les droits alloués sont en quantité limitée ; à l’inverse, une grande quantité de droits alloués en fait baisser le prix de marché et l’incitation devient nulle à la limite.
3. L’État aurait pu prendre des décisions administratives contraignantes (interdictions, normes) ou d’autres incitations économiques sans recourir au mécanisme de marché (taxes, subventions).
En conclusion, on pourra souligner que le marché, initialement défaillant à prendre en compte les externalités, est par conséquent réintégré dans ce mécanisme.


Faire le point p123

L’exercice revient, de manière très simplifiée*, sur trois des mesures que peut prendre l’État face à la pollution afin de montrer que le mécanisme du marché de permis à polluer est le moins coûteux.
1. Interdiction au delà de 50 t : Clairvaux : 50 t x 500 € = 25 000 € et Chatelest : 50 t x 200 € = 10 000 €
2. Taxation au-delà de 50 t : le montant de la taxe est laissé au choix de l’élève afin de permettre des variantes dans les calculs ; il devra toutefois être supérieur à 200 €, sinon aucune entreprise n’a intérêt à dépolluer, ce qui n’est pas le but de la présente taxe ; à titre d’exemple pour 400 € :
Clairvaux paie la taxe (400 €) plutôt que de dépolluer
(500 €) : 50 t x 400 € = 20 000 €
Chatelest dépollue (200 €) plutôt que de payer la taxe (400 €) : 50 t x 200 € = 10 000 €
3. Marché des permis à polluer avec octroi d’un quota de 50 t négociables :
Clairvaux : 350 € (prix du marché) < 500 € (coût de dépollution) donc Clairvaux utilise ses 50 t de droits et achète à Chatelest des droits pour les 50 t manquantes : 50 t x 350 € = 17 500 €
Chatelest : 350 € (prix du marché) > 200 € (coût de dépollution) donc Chatelest dépollue 100 t
(100 t x 200 € = 20 000 €) et vend à Clairvaux ses 50 tonnes de permis (50 t x 350 € = 17 500 €), ce qui au final lui revient à (20 000 € – 17 500 € =)2 500 €.

Conclusion : À dépollution égale (100 t), la solution globalement la moins coûteuse est la n° 3 (17 500 + 2 500 = 20 000 €) par rapport à la n° 1 (25 000 + 10 000 = 35 000 €) et à la n° 2 (20 000 + 10 000 = 30 000 €).