lundi 16 décembre 2013

La synthèse gagnante.

Voici la synthèse de Maud et Sarah qui j'espère n'ont pas mangé tous les kinders aujourd'hui!
Elle est complète et répond bien aux consignes données dans le fichier de documents donc ajoutez la au cours en plus de la votre.

L’entreprise, pour maximiser ses bénéfices, doit mettre en œuvre ce que l’on appelle la coopération.
Ce processus est l’action de participer et de collaborer à une action commune. Les salariés de l’entreprise en question coopèrent sous deux formes différentes :
-          la coopération volontaire : les salariés collaborent par plaisir, intérêts, dans un but commun. Ils peuvent être motivés par les projets de l’entreprise ou dans l’espoir d’en retirer un gain (primes par exemple). Ils adhèrent donc à l’esprit d’équipe.
-          La coopération involontaire : imposée par le contrat de travail qui fixe l’ensemble des devoirs des salariés. Cette collaboration permet aux individus de s’organiser pour présenter collectivement leurs revendications auprès de l’employeur.

Il existe trois types d’action du salarié, décrits par Albert Hirschman que sont « loyalty », « Exit », et « Voice », ces deux derniers remettants en cause la coopération.
Effectivement, les salariés peuvent décider de démissionner (Exit) ou de revendiquer (Voice). De plus, la coopération peut entraîner une mauvaise compréhension entre salariés, de l’égoïsme, ou une implication qui peut être perçue comme intéressée par les collègues. Par ailleurs, si la coopération est défaillante, des risques d’échec sont inévitables. Prenons l’exemple d’ARAMIS, où la RATP avait pour projet de moderniser le métro avec des petits véhicules automatisés qui circuleraient en continu. C’est en raison des confrontations entre les différents acteurs impliqués, que la RATP s’est vue abandonner le projet puisqu’il aurait abouti sur une sorte de VAL, le métro de Lille, le seul qui n’appartient pas à la RATP.


La coopération dans l’entreprise est donc importante mais elle reste limitée. La mauvaise utilisation de ce processus peut conduire à l’échec et entraîner des conflits au sein de l’entreprise.